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    Meeting aérien de La Ferté-Alais serie 2

     

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    Meeting de La Ferté-Alais

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    La pointe du Hoc est une petite avancée de la côte normande dans la mer de la Manche, située dans le Calvados. Elle surplombe une falaise de 25 à 30 mètres de haut avec une plage de galets d'une dizaine de mètres de large à ses pieds. La pointe se trouve sur la commune de Cricqueville-en-Bessin.

    Elle fut le théâtre d'une des opérations du débarquement allié en Normandie le 6 juin 1944. Située entre les plages de Utah Beach (à l’ouest) et Omaha Beach (à l'est), la pointe avait été fortifiée par les Allemands et, selon les reconnaissances aériennes alliées était équipée de pièces d'artillerie lourde dont la portée menaçait les deux plages voisines. Il avait été jugé primordial, pour la réussite du débarquement, que les pièces d'artillerie soient mises hors service le plus rapidement possible.

    Cette mission fut confiée au 2e bataillon de Rangers américain qui réussit à prendre le contrôle du site au prix de lourdes pertes. Par la suite, les pièces d'artillerie se révèleront avoir été déplacées par les Allemands peu de temps auparavant et installées 1,3 km en arrière, à l'intérieur des terres.

     

     

     

    Pointe du Hoc

    Pointe du Hoc

    Pointe du Hoc

    Pointe du Hoc

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    Pointe du Hoc

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    Parc de la Haute Touche 36290 - Obterre

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    Utah Beach est l'appellation d'une des cinq plages du débarquement de Normandie le 6 juin 1944. Plage la plus à l'ouest des zones du débarquement allié et la seule située sur la côte nord-est du Cotentin, à l'ouest de l'estuaire de la Vire (les quatre autres se trouvent sur la côte du Calvados), Utah Beach s'étendait de Sainte-Marie-du-Mont jusqu’à Quinéville sur environ 5 km de long, avec une zone d'assaut principal à hauteur de Varreville.

    Elle fut ajoutée aux plans initiaux du débarquement, du fait d'un plus grand nombre de chalands de débarquement finalement disponibles et permettait ainsi d'avoir une tête de pont plus proche du port de Cherbourg. La 2e DB, commandée par le général Leclerc, y débarqua 30 juillet 19441. Le débarquement à Utah Beach fut certainement le moins coûteux en vies humaines et celui avec les résultats, à la fin de la première journée, les plus proches des objectifs initiaux des Alliés. La 4e division d'infanterie américaine n'y rencontra qu'une relativement faible résistance ennemie, en contraste avec Omaha Beach l'autre plage du secteur américain. Les fortifications allemandes y étaient moindres du fait d'une configuration des lieux jugée peu propice par les Allemands pour un débarquement. En effet, la plage se trouve sur un cordon littoral adossé à des zones marécageuses. Le débarquement américain sur Utah sera donc précédé d'une opération aéroportée de nuit, elle coûteuse en vies humaines, sur Sainte-Mère-Église et Chef-du-Pont afin de contrôler les quelques routes au travers des marais permettant les sorties de plage.

     

     

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    John M.Steele John M.Steele 

    Dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, lors du parachutage des troupes aéroportées sur la zone de Sainte-Mère-Eglise, John Steele fut atteint au pied par un éclat de Flak (canon antiaérien) . Il ne pouvait plus contrôler son parachute et atterrit finalement sur le clocher de l’église aux alentours de 1h00 du matin. John se balançait et tentait de se libérer de son parachute tandis que sur la place, tout autour de l’église, la bataille faisait rage. Il essaya de se décrocher en vain. Après plus de deux heures, deux soldats allemands du nom de Rudolf May aidé par un certain Alfons Jackl vinrent le décrocher. John fut soigné et fait prisonnier. Il s’évada et trois jours après, rejoignit les lignes alliées et fut transféré vers un hôpital en Angleterre.

     

     

     

    St Mere l'Eglise

     

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    Ste Mere l'Eglise

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    Le jour J, qui marque le premier jour de la bataille de Normandie, est un débarquement prévu le 5 juin 1944 sur des plages normandes, mais finalement repoussé au mardi 6 juin en raison des conditions météorologiques. Cette opération militaire, baptisée Overlod, fut la plus grande de l’Histoire, tant par ses complications que par l’importance des moyens mis en œuvre. L’idée d’une opération militaire apparue dès 1942 mais le début de l’organisation ne commença qu’en janvier 1944. C’est le général Dwight David Eisenhower qui est chargé de la mise en place de l’opération.

    Le 4 juin, les gigantesques convois, qui ont déjà appareillé des ports anglais, doivent faire demi-tour sur une mer de plus en plus démontée. Vers 22 heures, après avoir pris connaissance du communiqué météorologique, le chef allié Dwight David Eisenhower annonce l’irrévocable décision que le débarquement aura lieu le 6 juin : « Je n’aime pas cela, déclare-t-il, mais il me semble que nous n’avons pas le choix… Je suis absolument persuadé que nous devons donner l’ordre… »

    La nuit du 5 au 6 juin l'armada la plus formidable jamais rassemblée s'approche des côtes françaises : 2 727 bateaux de types les plus variés chargent ou remorquent plus de 2 500 engins de débarquement escortés par 590 navires de guerre, dont 23 croiseurs et 5 cuirassés1.

    À 3 h 14 le 6 juin, des bombardiers larguent leurs cargaisons sur les plages choisies. À 3 h 30, 15 500 unités aéroportées américaines et 7 900 unités aéroportées britanniques sont larguées à proximité des plages. Ces unités ont pour missions de tenir et capturer des têtes de pont en libérant les accès des plages, et permettant ainsi aux troupes fraîchement débarquées de pénétrer à l'intérieur des terres. Les erreurs de largages alliées engendrent une totale désorganisation du côté allemand empêchant une contre-attaque. De nombreux parachutistes se noient dans les zones volontairement inondées par les Allemands, en partie à cause du poids de leur équipement.

    36 parachutistes des Forces françaises libres du Special Air Service furent aussi parachutés en Bretagne vers minuit dans la nuit du 5 au 6 juin ; 18 dans le Morbihan (opération Dingson) et 18 dans les Côtes-d'Armor (opération Samwest). L'un d'eux, le caporal Emile Bouétard, un Breton, fut tué au combat entre minuit et une heure le 6 juin à Plumelec, Morbihan. Il fut probablement le premier mort du débarquement2,3,, d'autres sources mentionnant toutefois plutôt un mort de l'opération Tonga, le lieutenant britannique Den Brotheridge (en)4,5.

    Les Alliés sont de diverses nationalités: des Britanniques et Canadiens (83 115),des Américains (73 000) mais aussi des Français, Polonais, Belges, Tchécoslovaques, Néerlandais, Norvégiens, etc., soit environ plus de 200 000 combattants en tout.

    Des différentes plages où ont débarqué les Alliés, c'est Omaha Beach, surnommée « Bloody Omaha » (Omaha la sanglante), qui connut le plus de pertes humaines.

    On compte au total 1 500 000 hommes qui ont débarqué sur les plages de Normandie à la fin du mois de juillet 1944.

     

     Pour plus de photos cliquez sur une rubrique 

    Debarquement Juin 44  

     

     

     

     

     

     

                  

                                 Parc de la Haute Touche 36290 - Obterre

     

    Vous pourrez également voir sur le lien ci-dessous le témoignage de la maman de Lylytop

    qui avait 10 ans et 4 mois  le jour du débarquement. Le récit de sa maman est très émouvant.

    http: lylytopetijp.canalblog.com

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  • Le canal de Briare est un des plus anciens canaux de France et le premier de type canal à bief de partage.

    Avec les cinquante-quatre kilomètres de son parcours et ses trente-huit écluses, en suivant principalement la vallée du Loing, il relie le canal du Loing, depuis le hameau de Buges dans le Loiret (non loin de Montargis), à la Loire et au Canal latéral à la Loire à Briare. Il permet à la navigation de relier les rivières de Loire et de Seine. C'est le prototype de tous les canaux modernes.

     

     Maison de l'éclusier

     

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